Les Temporalités

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Par Yvan Tetelbom

La mémoire mélange les temporalités, brouille l’ordonnancement chronologique des événements. Leur connexion instantanée écrase les distances.
Nous raisonnons par émotions, par croyances, sous le joug de nos perceptions sensées ou erronées. Comment rester lucide dans ces zones errantes, où le temps n’existe pas, à évoluer dans des lieux inattendus, des époques datées, futuristes ou imaginaires ?
Un récit qui interroge l’actualité politique, sociétale, culturelle de notre époque. Les personnages sont ubuesques, shakespeariens, désincarnés. Tous sont habités par la poésie et portés par un vent sec qui pousse l’horizon et produit des étés chauds, des hivers doux ou pluvieux, lesquels remontent depuis des millénaires vers la Kabylie, à partir d’Alger, pour atteindre les cimes du Djurdjura.


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Description

Les Temporalités

Par Yvan Tetelbom

Un roman à l’écriture dense, sauvage, orgasmique, parsemée d’incises géographiques, historiques et spirituelles.

Disponible en Ebook :


Genre : Roman
Nombre de page : 144
Dimension : 148×210
ISBN : 978-2-38157-268-0
Date de parution : Mars 2022

2 avis pour Les Temporalités

  1. J.L.

    j’ai fini ton livre, du moins tes pages, prises dans ce réseau rêve et réalité, présent, passé, qui s’entrecroisent harmonieusement, pour nous donner envie de suivre ce personnage, jusqu’au bout de ses souvenirs, de sa réalité, mais aussi de ses pertes de repères. C’est un chemin étonnant, émouvant, que tu as su ouvrir à tes lecteurs, et parce que tu ne les guides pas, leur donner envie de t’y suivre pour se perdre et se retrouver à leur tour. En tous les cas, merci. J’ai aimé, pour tout ce que cela révèle de sincérité, de sensibilité, et de belle écriture.

  2. L.R.

    C’est une écriture dense (j’avais écrit “danse !”) foisonnante, orgasmique… J’aime aussi toutes vos incises géographiques, historiques, spirituelles, les références précises dans la chair même du récit et pas dans d’insupportables notes en bas de page. J’aime le fait qu’elles ne soient pas entre parenthèses parce qu’elles sont aussi importantes que tout le reste, ces remarques, elles jaillissent de la même source que tout le reste, la seule différence est dans l’intention que vous y mettez : est ce que je parle au cœur ou à la raison de mon lecteur, et pourquoi je me priverai de ces précisions qui sont pour moi aussi indispensable que le reste ? Il est dans ce nouveau récit des phrases monuments tels des châteaux maritimes (je pense ici à la digue immergée du château de la Napoule). Votre écriture est comme telle, sauvage, ronde, aventureuse et réconfortante) Incroyable surprise aussi que ce poème de Rimbaud en place liminaire … Savez-vous que c’est l’un de mes préférés ? Vous vous exprimez dans un langage que mon âme comprend Merci pour ce voyage ou les lignes du temps et de l’espace s’emmêlent avec virtuosité, je ne me suis jamais sentie perdue dans vos ellipses quelles qu’elles soient. Ludmilla est pour moi une autre Nadja, une incarnation réelle terriblement incomplète de l’idéal amoureux qu’on ne côtoie qu’en rêve, réminiscence d’une vie antérieure, rêve dont vous faites d’ailleurs état dans votre récit. La scène du double portrait a la force d’une parabole. Celle de la recherche de l’identité via le retour au pays natal sur les traces de souvenirs d’autrui est également remarquable de pudeur et d’humilité Je suis vraiment heureuse d’avoir pu vous lire de nouveau et d’avoir ce retour tellement précieux de votre vision de l’événement épidémique. Sous votre plume il devient fiction, relégué à une autre temporalité, sous votre plume on le dépasse et on regarde vers l’avenir.

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