Description
Ta Gueule Momo !
Par Bruno Duchemin
Un roman atypique, aussi surprenant qu’envoutant, où avec humour, un mystérieux personnage insuffle une dimension psychologique de suspens…
Disponible en Ebook :
Genre : Roman
Nombre de page : 356
Dimension : 148×210
ISBN : 978-2-38157-176-8
Date de parution : Juin 2021
Sophie Lefevrebure –
-Bruno, c est Momo,
Le train de la lecture ne peut pas s’arrêter
T’es fort Bruno, t’as l’aiguillage léger
Pour le poids de l’histoire.
« Ferme pas ta gueule ! »
Moi, avec mes bretelles de Brigadier,
J’ai jamais fait la ceinture P !
Toi, tu chemines loin et haut,
T’as le TCO qui clignote.
Ta peinture décolle sans brusquer,
J’en suis panto de ton graph’ !
Bah oui !
Ca patine pas, ça adhère à l humain,
Pas besoin de sable vendeur
Pour lecteurs au kilo libéral !
Ta rame sans rature
Chef de Feuille ! Bah oui !
-Bruno, c’est Jean le délégué
Y a trop de Carrés qui ne tournent pas ronds !
Numérique nique nique !
Le progrès déraille, tout s’détraque !
Dans la nuit médiatique,
Tu éclaires les travailleurs
Du ferroviaire, solidaires.
Tu réhabilites la maison service public.
Pas un roman de gare pour Ange, un docu-fiction sculpté !
Comme un chef et jamais martial !
C’est toi l’engagé !
T’as le courage des sensibles,
L’humour et l’amour, la vérité détachée,
La résistance des traverses,
Quedreux ! y a le feu !
Tirez ! Nécrologisme !
-Bruno, c’est le démon
A la césure, bien sûr, ma démesure !
T’as tout dit
Solitude, stress, divorces, suicides, agressions, pannes, dangers, guerres, poisons chimiques, Fermetures, morts à crédit, profits financiers et paillasson…
J’en oublie, la perversité, c’est biodiversité !
Moi, je suis juste bon à finir le boulot du boulot,
Tuer à heure précise, la mort de Léo à 21h26
Puis refiler le cadavre à la pluie.
Et toi, tu le déterres à coup de mots !
« C’est dingue l’émotion »
-Bruno, c’est le journaliste, c’est toi ?
Pas le Columbo de papier
Ni ceux qui condensent ta cadence !
Ils ne manquent pas d’air ceux-là,
Ils ont la caténaire publicitaire !
Celui qui erre en toi, le jour, la nuit ?
Tu chiffres, tu déchiffres,
Juste accélération, sérieux !
Doux freinage, malicieux !
Jacques envie ton vocabulaire érudit, -Hic !-
T’es un empereur à probabilités concrètes,
Tu parles haut aux clients râleurs incognitifs.
Tu peaufines la phrase, tu lui ouvres son électrovalve,
T’as le rythme pour faire monter le transformateur…
-T’es con le journalo !
-Bruno, c’est moi Léo, le manœuvre
Oh ton œuvre ! Merci
De SDF à SNCF, de MEC à ZERO
T’es poète Bruno, mon ami anti-Héros
Les lignes de ton territoire de rêves,
La pluie roule jusqu’à l’aube,
Tu pleures ? , t’as peur ? d’aimer encore le feu ? d’être deux ?
L’aurore noyée dans l’oreiller délaissé,
Le parfum de la vie, HLP, HELP.
-A la ligne Le Havre- Paris, ils sont tous là,
Plurielle a emmené Arthur le chevalier sur sa moto,
Anastasia est unique comme la Pacific,
Le vieux Guerrier et Crocodile,
J’aperçois Ibrahima et les Chibanis,
César, Martial, Jacques,
Pierrot le dernier, Marco gueule d’ange,
Pascal, Corentin, Louis le paysan,
Mika, Dimitri, Arnaud,
Djamel, Clément, Walter, Rémi,
Mathis, Boris, Camille,
Julien le jardinier,
Monsieur William du Ferré prolétaire,
Cyrille le sphinx,
Sylvie et la petite,
Maxime et la pluie.
Arrêt Bréauté, tu pars pour la capitale,
Un prix ! C’est génial !
Je suis là aussi
Ton amie Sophie.
-Y’a un mot de la direction pour toi !
« Monsieur Ducheminot,
Penchés sur votre cas, nous parlerions du bénéfice de valorisation incompressible de votre égo littéraire par la reconnaissance utile de vos lecteurs car votre cause s’engage en faveur du syndrome sociétal du déficit existentiel structurant du travailleur. Vous honorez la profession.
Jean-Charles, Jean-Edouard, Guillaume et Pierre »
Mon ami de la vie,
Au prochain écrit
« Si j’avais pris ce train. Est-ce que tu m’aurais aimé toute la vie ? »
Michel Déhais –
« Ta gueule Momo »
Après avoir lu le roman atypique de Bruno Duchemin, on ne prend plus le train sans penser aux travailleurs, cheminots, mécaniciens, aiguilleurs,,,,,
Et il se peut que nous soyons beaucoup plus indulgent et compréhensif en cas de léger retard sur la ligne, une écriture qui nous semble une pièce de théâtre et qui rapidement nous plonge dans une réalité implacable sur la vie du Rail, à lire impérativement !
Souillard (client confirmé) –
Le livre nous fait découvrir des conditions de travail insoupçonnées ; quel beau parcours de vie professionnel et quel courage de la part de Léo ,le personnage principal !