Nuits Blanches

(4 avis client)

14,00 

Par Brigitte Girault-Daux

Tout commence par une rencontre inopinée à une station-service entre une enseignante et l’un de ses anciens élèves. Le contact se renoue et, au hasard de conversations à bâtons rompus, des questions banales font entrevoir au professeur de lycée des zones d’ombre dans le quotidien du jeune homme.
À quelques encablures de là, dans la cité des Bleuets, chacun presse le pas les soirs où des silhouettes cagoulées s’installent en faction sous des réverbères aux ampoules cassées. Ces nuits-là, des bolides surgissent de parkings souterrains pour se lancer à pleine vitesse sur les autoroutes. Dans leurs coffres, une marchandise de plusieurs millions d’euros, au volant, des conducteurs qui mettent en jeu leur vie pour en garantir la livraison. Mais qui sont-ils ces pilotes de Go Fast ? Le découvrir vous confirmera que rien dans l’existence n’est jamais blanc ou noir et que les nuances de gris sont nombreuses.


Télécharger un Extrait

Télécharger le Dossier de Presse

En stock

Description

Nuits Blanches

Par Brigitte Girault-Daux

Réfléchissez bien avant d’ouvrir ce livre, car vous pourriez perdre quelques certitudes et vous attacher aux personnages.

Disponible en Ebook :

De la même autrice :


Genre : Roman
Nombre de page : 136
Dimension : 148×210
ISBN : 978-2-38157-260-4
Date de parution : Mars 2022

4 avis pour Nuits Blanches

  1. annie+barbier

    Bonjour les livrophiles !
    Nuits blanches de Brigitte Girault-daux est un roman noir paru chez Libre 2 Lire . Court, mais intense.
    Madame Rinaldi est une prof de français tout juste retraitée. Un peu désabusée par son métier, mais aussi un peu triste de partir.
    Elle va être abordée par Idir, un ancien élève, un gamin des cités. Il aimerait qu’elle donne des cours particuliers à son frère Karim. Il s’est rendu compte que l’éducation, avoir un diplôme lui permettrait de devenir quelqu’un de bien. Leur père est mort, leurs deux sœurs sont mariées et la mère n’a plus d’autorité sur Karim. Idir, lui, a du devenir « chef de famille » très tôt. « Faites avec lui ce que vous avez fait avec moi. Sauf que pour moi c’était trop tard » …
    *******
    Je connaissais l’écriture de l’auteure pour avoir lu Partie d’échecs contre un assassin, un polar que j’avais beaucoup aimé. J’ai retrouvé ici son style très agréable à lire.
    Elle sait trouver les mots qui frappent et nous amener dans son univers. Inévitablement, on se pose des questions, les émotions se bousculent, on a envie de savoir ce que va devenir Karim.
    Ce n’est pas un polar cette fois, mais un roman sociétal assez noir. Une sorte de peinture d’une famille des cités, un monde découvert par une ancienne prof.
    La seule « remarque » que je pourrais faire concerne le premier chapitre que j’ai trouvé un peu long, même s’il permet d’apprendre à connaître Madame Rinaldi.
    Cette histoire devrait plaire aux amateurs de romans noirs : c’est bien écrit, sur un sujet assez « brûlant ». L’auteure a travaillé son thème et ses personnages. On ne peut pas rester indifférent et on est comme poussé à réfléchir. Sur les jeunes des cités, mais aussi sur le comportement des profs qui parfois « jugent » et collent des étiquettes sans savoir, sans connaître les jeunes.
    Si vous aimez ce genre de roman, alors foncez, vous ne serez pas déçus !
    *******
    Accroche : Tout commence par une rencontre inopinée à une station-service entre une enseignante et l’un de ses anciens élèves. Le contact se renoue et, au hasard de conversations à bâtons rompus, des questions banales font entrevoir au professeur de lycée des zones d’ombre dans le quotidien du jeune homme.
    À quelques encablures de là, dans la cité des Bleuets, chacun presse le pas les soirs où des silhouettes cagoulées s’installent en faction sous des réverbères aux ampoules cassées. Ces nuits-là, des bolides surgissent de parkings souterrains pour se lancer à pleine vitesse sur les autoroutes. Dans leurs coffres, une marchandise de plusieurs millions d’euros, au volant, des conducteurs qui mettent en jeu leur vie pour en garantir la livraison. Mais qui sont-ils ces pilotes de Go Fast ? Le découvrir vous confirmera que rien dans l’existence n’est jamais blanc ou noir et que les nuances de gris sont nombreuses.

    Corinne Bertrand Blog Co et ses livres

  2. annie+barbier

    Nadine Doyelle
    Hello les Ami(e)s
    Voici mon ressenti sur le roman de Brigitte Girault-daux.
    Nuits blanches
    À avoir dans sa pal, et à lire impérativement.
    Belle fin de journée
    😍😘❤️
    Nuits blanches
    Brigitte Girault-daux
    136 pages
    Je remercie vraiment Mme Girault-daux de m’avoir permis de découvrir ce fabuleux roman et je pèse mes mots. Déjà que j’avais apprécié fortement l’ambiance et l’écriture de Parités d’échecs contre un assassin, mais là, cette histoire est terrible. Et je me suis dit comment un petit bout de femme comme Brigitte a pu écrire un roman pareil avec autant de réalisme, d’émotions diverses, c’est waouhhh..
    Dès les premières pages, j’ai fait la connaissance de Mme Rilnadi prof de français, nouvellement à la retraite. Elle rencontre un ancien élève Idir, qui lui demande de donner des cours particuliers à son petit frère Karim. À mots cachés, Idir ne veut pas que Karim tourne comme lui, il veut qu’il fasse le bon choix pour sa vie.
    Et puis là, tout s’enchaîne et se déchaîne à une vitesse folle dans tous les sens du terme.
    Vous dire que j’ai été plus qu’emballé par ce roman, c’est peu dire. Je l’ai dévoré et arrivé à la fin, je me suis dit, ce n’est pas possible, je veux encore… Et puis, je me suis dit qu’il pourrait y avoir une suite… J’aimerais bien.
    J’ai adopté de suite, Mme Rilnadi, sa manière d’être, de penser, d’analyser les situations, les gens et sa manière de réagir en intervenant. Et puis Idir qui est devenu chef de famille malgré lui et n’a pas eu le choix de sa vie et bien sûr Karim qui vénère son frère et veut être comme lui !
    Dire que je suis passé par multiples émotions, c’est encore peu dire, j’ai tremblé de peur, j’ai eu les larmes aux yeux par moments, j’ai senti la vitesse qui me collait aux sièges, j’avais l’impression d’être dans Fast and Furious avec les courses de voitures.
    La vie dans les cités avec les trafics en tout genre est superbement bien décrite, on ne tombe pas dans les clichés, on s’en que c’est du vrai, du vécu ! Et ça, c’est dû à l’écriture fluide de l’auteure, aux mots choisis avec minutie et qui font mouche comme des uppercuts.
    Que ce soient les personnages, les lieux, l’atmosphère, tout est très bien décrit, on s’y croirait vraiment, c’est hallucinant…
    En plus, il y a du suspens, de la tension, des trafics, de la manipulation, etc…..
    Comme vous vous en doutez, vous devez absolument, impérativement découvrir ce merveilleux roman.
    Nadine Doyelle

  3. nathaliemillet65

    Mon 2 ème livre de cette auteure après « Partie d’échecs contre un assassin » dont vous retrouverez la chronique sur ma page . Un livre que j’avais apprécié et j’ai le même ressenti avec celui-ci . Nuits blanches est un roman sociétal qui aborde le problème des cités. Madame Rinaldi est une prof de français nouvellement retraitée après 40 ans de bons et loyaux services . Dans une station service elle va croiser Idir N’Diaye un ancien élève perdu de vue qu’elle va retrouver en bas de chez elle le jour même . Ils vont parler et il va lui demander un service : accepterait-elle de donner des cours particuliers à son jeune frère Karim de 20 ans . Il aimerait qu’il puisse avoir de quoi réussir dans la vie , pas comme lui qui se « débrouille » dans des affaires pas très nettes . Leur père est mort , les sœurs mariées et leur mère est complètement dépassée et n’a plus aucune influence sur Karim qui lui veut ressembler à son frère qu’il voit comme un héros . Idir lui a dû endosser le rôle de chef de famille très tôt le poussant à faire de mauvais choix par nécessité et à cause de mauvaises fréquentations . Il ne veut pas que Karim suive son chemin qui a franchi les limites . La rencontre entre Madame Rinaldi et Idir va nous embarquer dans une histoire prenante, touchante . Que va devenir Karim? Nous allons en apprendre davantage sur Idir et nous comprenons pourquoi il veut que son frère puisse avoir l’éducation qui lui permettrait de réussir dans la vie . Malade Rinaldi est un personnage attachant , qui aime écouter , conseiller sans juger . La plume de l’auteure est très agréable à lire . Dès les premières pages elle nous embarque dans l’histoire nous mettant proche des personnages . Elle nous fait poser des questions auxquelles nous attendons les réponses . Un roman qui nous dépeint les cités au travers Idir . Un sujet malheureusement d’actualité avec la réputation de ces lieux souvent mal fréquentés , repères de traffic de drogue , du jugement des autres sans savoir , sans connaître la vie de ces habitants …

  4. annie+barbier

    J’ai lu Nuits Blanches, le dernier roman de Brigitte Girault-daux
    La couverture déjà attire l’œil entre son tourbillon qui vous emporterait presque sur la voie lactée et cette autoroute qui nous invite à suivre l’auteure dans un voyage captivant mais qui n’a rien de tranquille. On sent déjà le vertige de la vitesse et les points de lumière dorée qui brodent l’obscurité pourraient inviter à autant de rendez-vous. Sauf que dans cette histoire, les points de rendez-vous sont souvent des caches extrêmes, de celles que l’on approche seulement si l’on est fait partie d’un cercle immédiat, celui d’initiés qui n’agissent que la nuit, et surtout si l’on en connait les règles du jeu.
    On est vite jetés dans “le bouillon” et même si l’on n’a pas affaire à un enfant de chœur, le premier héros de l’histoire est attachant autant dans l’approche de son ancienne professeure, retrouvée par hasard, que dans sa volonté de sauver un être cher du pire, en tous les cas de lui épargner une vie à la fois dangereuse et désespérante.
    Je pensais qu’il fallait, pour aborder ce sujet, avoir vécu au cœur même de ces cités, souvent dites de non-droits ou avoir côtoyé quelques personnes bien informées de ce qui peut s’y passer, des usages et autres pratiques inhérentes à des trafics en tous genres.
    J’admire le travail de recherches de l’auteure qui nous emmène tambour battant dans le sillage de ses personnages. J’avoue avoir eu parfois très peur, avoir joué à inventer une fin (Là, je me suis bien plantée, d’ailleurs). Même si l’on sait que certains individus n’ont aucun état d’âme, on essaie de croire à une possible “rédemption”.
    Je ne vous dirai rien de la fin parce que personnellement jusqu’au bout je me suis fait mon cinéma et c’est cela aussi le bonheur de la lecture, celui d’entrer dans l’action, de s’y fondre et de s’y perdre.
    Merci Brigitte pour ce voyage dont on ne sort pas indemne surtout si l’on croit encore aux valeurs humaines.
    Bien évidement, je vous invite à découvrir ce roman passionnant et à passer une nuit blanche, en tournant les pages avec le vif désir de savoir si vos vœux pour les héros seront exaucés… ou pas.
    Annie Kubasiak-Barbier

Ajouter un Avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.