Description
Un Chant de Coquelicot
Par Marianne Clogenson
Sortir du cocon, devenir, oser, choisir, aimer…
Cette œuvre toute en délicatesse et sincérité,
où la musique est un personnage à part entière,
fera vibrer vos propres souvenirs d’adolescence…
Disponible en Ebook :
De la même autrice :
Genre : Roman
Nombre de page : 484
Dimension : 148×210
ISBN : 978-2-490522-27-9
Date de parution : Septembre 2019
LARTILLOT (client confirmé) –
Dès les premières pages, j’ai été happé par l’histoire de Balsamine, adolescente studieuse, torturée par la vie. Marianne CLOGENSON, nous offre ici un premier roman addictif qui nous tient en haleine jusqu’à la dernière page. Soigneusement écrit, décrivant avec délicatesse le passage de l’adolescence à l’age adulte, un cocktail réussi d’une belle histoire d’amour, agrémenté d’une balade olfactive au pays du parfum et de quelques clin d’oeil à certaine région de France.
Je recommande vivement ce roman, qui, malgré ses 482 pages se lit facilement, car chaque page vous donne envis de lire la suivante, autant vous dire qu’il n’y a aucun temps mort, aucun passage ennuyeux. Ce roman convient autant aux adultes qu’aux adolescentes, même si certains passages sont difficiles à lire, j’avais le cœur au bord des yeux.
Très beau roman, remerciement sincère à Marianne CLOGENSON et aux éditions libre 2 lire, pour m’avoir permis de découvrir un nouvel auteur qui je l’espère nous gratifieras de nombreux autres roman.
Vittemer Angeline –
L’auteure a su aiguiser ma curiosité tout au long des pages, même si à la base ce n’est pas mon style de roman. Chapeau bas à l’auteure.
DER HAFOPIAN –
Un chant de coquelicots
On se laisse emporter dans ce voyage à travers le temps. Les deux jeunes personnages centraux de ce roman, Balsamine et Ernest nous deviennent très vite familiers. On aime à les suivre dans ce passage délicat de l’adolescence à la vie adulte. Plus d’une fois, je me suis prise à penser à eux, comme s’ils faisaient partie de la vraie vie…
Marianne a écrit son premier roman avec passion, fougue, poésie, justesse et minutie.
Nadine DER HAGOPIAN
Elodie (client confirmé) –
Marianne Clogenson décrit avec une grande délicatesse et une grande justesse les balbutiements amoureux de ses protagonistes. Les premières caresses, les doutes, les joies : tout est décrit avec poésie.
Danie –
Aujourd’hui, je viens de refermer le livre de :
Marianne Clogenson : Le chant de coquelicot publié chez “https://libre2lire.fr/livres/chant-de-coquelicot/”>libre2lire.
L’histoire d’une adolescente Balsamine, qui dans les années 70, va entrer dans un lycée huppé de Paris, en tant que pensionnaire en première scientifique. Elle n’aura de cesse de cacher d’où elle vient, jusqu’au jour ou malheureusement, l’une de ses camarades de classe découvrira, son secret.Plusieurs personnages;: Ernest, les jumelles, Chantal, le père d’Ernest, la grand-mère de Balsamine, vont vous emmener dans une virée de plus de 2 ans.
À l’époque, il n’y avait pas internet, on apprenait dans les livres, ou par les copines, qui avaient osé transmettre un certain savoir, sur les premiers ébats amoureux.Je n’ai jamais connu l’internat, mais on devine l’ambiance de l’époque, ou il y avait une certaine rigueur.Ce roman est l’ambiance de deux mondes, ou tout est déjà écrit pour l’un, tandis que pour l’autre, tout sera à prouver.
Mais au fait, vont-ils décrocher leur BAC C ?
Si vous êtes nés dans les années 60, et l’envie d’ un retour arrière afin de revivre vos 17ans, pas de souci, tous les ingrédients sont réunis.
Bonne lecture
Annie Kubasiak-Barbier (client confirmé) –
Un chant de coquelicot de Marianne Clogenson
https://libre2lire.fr/livres/chant-de-coquelicot/
Rien que le titre de l’ouvrage, ça interroge…
Quand on regarde la couverture, qu’on épluche ce titre “Un chant de coquelicot”, on se demande bien où l’auteure veut en venir … et avec son chant et avec son coquelicot…
Là-dessus c’est motus et bouche cousue, sinon même pas drôle.
Balsamine, coquelicot.. J’ai toujours aimé les fleurs mais les mettre en situation amoureuse, fallait y penser.
Bref, bref…J’ai été vite emportée dans le tourbillon de ma folle jeunesse. On a beau dire, on a beau faire, on ne se souvient pas toujours très bien des aléas de cette époque formidable, trop pris que nous sommes par le bouleversement de nos jours. En attendant, ce livre là a mis une claque à mémoire un peu endormie en me rappelant que nous étions quand même souvent sous contraintes familiales, scolaires, sociétales. Il est une foule de détails qui portent à rire aujourd’hui et pourtant…La permissivité actuelle n’a-t-elle apporté que du bon ?
Et puis, le premier amour, la première fois, ça marque les esprits et ça ramène bien arrière aussi. Ah là là ! Marianne !
Mine de rien, il y a plusieurs sujets abordés là-dedans et puis les héros, c’est aussi la rencontre de deux mondes qui doivent composer pour briser leur propre carcan.
Bon allez, je vous en ai assez dit pour l’instant. A vous de cueillir ces fleurs, si gentiment offertes et l’amour qui va avec.
Un chant de coquelicot de Marianne Clogenson, aux Editions libre2Lire, bien sûr !
Annie Barbier
Therese Dvir –
Un Chant de Coquelicot de Marianne Clogenson
J’ai finalement lu votre œuvre Marianne que j’ai pu résumer en une seule phrase : La recherche et découverte de l’âme sœur en dépit des nombreux impédiments, de la mesquinerie et de la méchanceté de ceux qui nous sont plus ou moins proches…
En fait, si vous avez l’occasion de lire mon œuvre Des cendrillons à la pelle vous trouverez dans son épilogue un excellent compte-rendu à ce sujet…
« Nos défaites personnelles résultent parfois de cette fatalité de la vie devant laquelle nous sommes tous impuissants. Fréquemment, toutefois, elles sont le fruit d’une injustice démesurée, d’une cruauté proprement inhumaine.
L’indulgence inconséquente et coupable que nous accordons envers et contre tout à nos proches nous permet de leur pardonner et nous aide à oublier les conséquences de leurs méfaits. Toutefois, ni notre amour et ni notre pardon ne peuvent venir à bout des graves préjudices qu’ils nous ont causés. Notre état physique et mental peut même s’en trouver profondément ébranlé, ce qui finira par modifier irrémédiablement le cours prévisible de notre vie jusqu’à infléchir le sens même de notre destinée ».
Merci pour m’avoir permis de la lire… et que je recommande chaudement. Thérèse
Patricia Lasserre (client confirmé) –
“Un Chant de Coquelicot” c’est principalement l’histoire de deux adolescents qui terminent leurs années lycée dans un établissement privé, et c’est aussi une étude très poussée du milieu dans lequel ils évoluent : jalousie, rivalités amoureuses, provocations, tout est décrit avec beaucoup de force et de minutie par l’auteure. Mais c’est aussi un livre qui dévoile la complexité des relations amoureuses, l’intransigeance de la jeunesse et le manque de repères dans une société en perpétuelle évolution. Ernest et Balsamine ont reçu une éducation très différente, ils ont aussi des caractères forts et contrastés, mais le manque affectif est constamment présent. Et c’est cela sans doute qui va leur permettre de se comprendre. Cette approche savamment distillée au fil des pages parvient à retenir notre attention jusqu’à la dernière ligne, et en fait une histoire particulièrement attachante.
Antiigone –
Balsamine est une jeune fille aux cheveux de feu, si bien représentée sur la couverture (magnifique et bien représentative du livre, d’ailleurs !), qui fait son entrée dans un lycée privé, après des événements ayant perturbé son quotidien. Farouche et réservée, sur la défensive, elle apprendra à se mêler à ce flot de nouveaux élèves dans cet environnement inconnu et aux habitudes parfois difficiles à comprendre pour elle. En plus de devoir se reconstruire, elle y découvrira l’amour, l’amitié, la joie, la confiance et soi, mais aussi la jalousie, la trahison et l’échec. Elle poursuivra son chemin en entrant dans la vie active et d’adulte, avec ses joies et ses peines, le tout dans une époque où la jeunesse en soif de liberté éprouve des difficultés à trouver sa place dans un monde de grandes personnes encore trop à cheval sur les mœurs parfois dépassés.
Nous avons donc là une tranche de vie qui retrace le quotidien de Balsamine, de son entrée dans un lycée privé à sa vie de femme, mais aussi celle de ses camarades de classe et de ses rencontres au fil des pages. Tout ce petit monde évoluera et prendra des routes différentes pour se croiser et se recroiser, pour le meilleur et pour le pire.
C’est une histoire riche en rebondissements et qui montre si bien cette période de transition qu’est l’adulescence, desservie par des personnages à la personnalité forte et complexe.
Les personnages, justement, me sont apparus comme attachants, avec une psychologie approfondie, même si, parfois, Balsamine m’a un peu tapé sur les nerfs avec ses réactions de « vierge effarouchée »… mais justement, c’est cela qui est fort, car notre héroïne représente bien son époque et la place de la jeune femme en devenir qu’elle est ! Les personnages secondaires ne sont pas en reste et ont chacun leur importance, faisant avancer l’histoire à leur manière.
Il m’a cependant manqué cette étincelle d’émotions dans certains moments forts, où les événements décrits restaient trop factuels pour entrer totalement en empathie avec les personnages.
Mais ce qui m’a particulièrement plu dans ce livre, c’est de replonger littéralement dans les eighties avec ce roman. Tout y est : les codes vestimentaires, les mœurs des jeunes et des moins jeunes, la musique, l’ambiance, les aspects économiques et sociaux. On en redemande encore ! Sur cela, on ressent une certaine recherche de réalisme de l’auteure et c’est réussi ! C’était tout à fait ce que j’attendais de ce roman et j’ai été comblée ! La place de la musique dans ce roman est aussi un gros point fort (et pas seulement le disco !), ce qui contribue grandement à l’ambiance du roman.
Malgré quelques soucis de concordance des temps et quelques coquilles qui ont parfois gêné ma lecture, le style de l’auteure est riche et agréable à lire, adapté à la fois au genre et à l’époque du roman. Tout s’enchaîne de manière dynamique et inattendue. La pauvre Balsamine en voit de toutes les couleurs ! L’auteure nous fait voyager à travers la France, avec de belles descriptions qui nous propulsent avec les personnages dans les lieux de leurs pérégrinations. On assiste à la fois à un voyage physique, en Provence, à Paris et dans d’autres villes, mais ne serait-ce pas aussi le voyage intérieur fait par les protagonistes qui, de routes en déroutes, cheminent vers l’âge adulte ?
En résumé, j’ai passé un agréable moment de lecture avec Balsamine et ses amis, dans une époque qui m’est chère, même si je n’ai pas eu la chance de la connaître. Merci à l’auteure pour ce voyage dans le temps et cette histoire haute en couleur ! Ce roman est parfait pour se déconnecter du quotidien et s’évader !